Suite à l'annonce officielle de la mise en vente du Domaine de Boudré, le collectif a vocation à assurer la sauvegarde de ce site naturel.

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Le collectif est toujours présent, il ne se laisse pas berner, lui !

Monsieur Gillet n’est pas avare de contradictions, voire de contre-vérités. Pourquoi cherche-t-il à longueur d’articles dans la presse locale à justifier son choix : celui de la privatisation du domaine public par un entraineur de pur-sang ?

Le collectif insiste et précise que pour mener à bien son funeste projet pour Boudré, il sera bien obligé d’abattre des arbres dans des zones protégées et ainsi de détruire des espaces utilisés par les habitants. Tous les spécialistes sérieux du monde hippique sourient d’entendre que les pistes d’entrainement synthétiques ou sablées n’occasionneront pas de dégâts sur l’écosystème.

Monsieur Fouin souhaite assouvir sa « soif » de constructeur de bâtiments démesurés aujourd’hui interdits sur Boudré, et pour cela les élus à la « botte de cheval » de Monsieur GILET vont devoir  changer l’orientation actuelle du PLUi et donc déclasser des zones reconnues d’intérêt général, sensibles, naturelles où vit une superbe biodiversité en une simple zone agricole où toute construction liée au cheval serait possible…

Ces mêmes spécialistes contredisent les engagements et promesses du Président de Conseil Départemental, quand il affirme que 20 à 25 emplois seront créés. D’une part, certains salariés seront mutés de Maisons-Laffitte, ce sont des emplois précaires, mais d’autre part pourquoi ne comptabilise-t-il pas ceux qui seront supprimés dans les écuries et dans les centres d’entrainement touchés par la fermeture de cet hippodrome ? A n’en pas douter, le rapport est négatif, d’où ce silence partial !

Dans le même ordre d’idées, Monsieur Gillet ne développe pas les conditions suspensives de ses projets ; certaines seront difficiles à dépasser. Un seul exemple, lorsque l’on sait que l’autorisation de forage de 100m3/heure pour arrosage et abreuvage des équidés demandée par l’entraineur est égale à la consommation en eau des habitants de Seiches, nous comprenons mieux certains silences, coupables évidemment ! Prélever de telles quantités d’eau n’est certainement pas raisonnable d’un point de vue écologique. Une étude du sous-sol mériterait une attention autre pour garantir aux habitants du secteur de ne pas par subir de pénurie. De plus une expertise sérieuse devrait permettre de mesurer l’impact des eaux usées générées par un tel élevage. Même sans ces informations les élus ont été grisés par les sirènes de l’entraineur et du président Gillet.

Sa campagne de communication a pour but de convaincre que les dés sont jetés. Si son opération d’intoxication a fonctionné pour les élus locaux qui le soutenaient par avance, et qu’une partie de la population semble fataliste, le collectif de sauvegarde du domaine et bien d’autres associations ou organisations n’ont pas écouté ses sirènes. Leurs actions continuent.

Les autres porteurs de projets ont été refoulés essentiellement pour des prétextes économiques discutables. Il y avait pourtant de beaux projets d’installation de jeunes paysans ouverts à l’accueil et au tourisme local qui ont été passés sous silence. Où sont les priorités de soutien à l’installation de jeunes paysans?

Et quelles sont les certitudes que peut fournir l’entraineur choisi, dans le domaine financier. Qui se cache derrière ces 80 pur-sang ? Un financier bétonneur qui attend la bonne occasion pour récupérer le site et y creuser des carrières ? Pourquoi tous les élus favorables au choix du Président Gillet ont-ils voté sans avoir connaissance du dossier et de ses attendus ?

Monsieur Gillet affirme « on est des gens raisonnables, on tiendra compte des avis… »… Serait-ce de sa part une nouvelle pratique, puisqu’il a pour habitude de changer en cours de route les règles qu’il a lui-même édictées (par exemple d’arrêter une date butoir de dépôt d’appel à projet et de la modifier pour faire entrer dans le jeu son « poulain ») ! Depuis le début, les duperies ont été nombreuses. N’oublions pas la décision antérieure du conseil départemental sur des motifs trompeurs, de casser le legs dit pourtant “éternel” du couple Gélineau qui avait confié le domaine de Boudré au bien commun sous gestion du Conseil Départemental.

Le collectif poursuit ses initiatives et porte toujours avec autant de conviction, la volonté de sauvegarder le domaine dans un espace protégé et public ; il plaide pour l’installation de fermes biologiques et pédagogiques, pour le maintien des courses hippiques et le développement d’un slow tourisme à partir de l’hippodrome. Cela reste des objectifs essentiels.

Boudré est dans votre cœur ! Participez à son achat sous la forme d’une ou plusieurs parts sociales.

Si vous lisez ce texte, c’est que vous avez manifesté votre intérêt pour le domaine de Boudré situé à Seiches sur le Loir.

Ce sont vos soutiens qui ont guidé notre détermination.

Malgré les 5500 pétitionnaires, l’appui d’associations locales, l’engagement des élus locaux autour de l’hippodrome, le département du MaineetLoire semble resté sourd aux propositions portées par le collectif «Préservons le Domaine de Boudré». Il souhaite vendre au plus offrant ce site qui lui a été légué gracieusement. Il existe un sérieux risque de privatisation définitive d’une grande partie du domaine.

Depuis 2 ans et demi, le collectif a pour objectifs de préserver cet Espace Naturel Sensible, de protéger sa zone de captage d’eau potable, de maintenir l’ouverture au public et d’inscrire durablement le domaine au cœur de l’intérêt collectif du territoire. L’ensemble des activités socio-économiques, l’agriculture, la sylviculture, le tourisme, la chasse, le sport, le loisir et la culture, sont envisagés autour du respect de la grande biodiversité de cette boucle du Loir.

Dans le cadre de la vente sous la forme d’un appel à projets, le collectif s’est mobilisé dans deux directions :

  • Soutenir un projet d’achat de l’hippodrome par la commune de Seiches sur le Loir. Autour de ce titre « Boudré au cœur du territoire », l’hippodrome sera le socle d’un développement touristique doux.

  • Soutenir la création d’une association de préfiguration qui a pour but la mise en place d’une Société Coopérative d’Intérêt Collectif (SCIC).

Cette association de préfiguration bénéficie de l’appui de «Terre de Liens» et du mouvement «Hamosphère région Pays de la Loire». Par l’intermédiaire d’un financement participatif, cette coopérative souhaite se porter acquéreur des deux fermes du domaine.

Dans l’espoir de maintenir le domaine dans le bien commun, avec la volonté de servir l’intérêt général, le collectif invite les adhérents et sympathisants à souscrire, d’abord sous forme de promesse, une ou plusieurs parts sociales d’une valeur de 100 euros de cette future coopérative.

Avant souscription, un dossier technique et financier vous sera remis pour expliquer plus précisément l’ensemble de la démarche menant à l’assemblée constitutive de la coopérative.

Possibilité de réduction d’impôts : Les souscripteurs au capital de cette future coopérative, s’ils sont soumis à l’impôt sur le revenu des personnes physiques (IRPP)/ cf. Art. 199 terdecies-0 A du code général des impôt), pourront bénéficier d’une réduction d’impôt de 18 % du montant total des parts contractées. S’ils sont soumis à l’impôt de solidarité sur la fortune, ils auront le droit d’imputer à cet impôt 50 % des versements effectués. Les modalités et conditions seront explicitées lors de la souscription.

En signant cette promesse, je m’engage à souscrire au moins une part sociale ou plusieurs, dès l’appel à souscription. N’hésitez pas à photocopier cet appel pour le diffuser à votre entourage. Sans vous, Boudré sera privatisé.

—————————————————————————————————————————Envoyez vos Nom, Prénom, adresse, mail, téléphone (les parts sociales sont nominatives) à cette adresse mail pour communiquer votre engagement : scic.laboucleduloir@gmail.com

Avec le montant envisagé : ………………………

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Le président du Conseil Départemental met en doute la possibilité d’un financement participatif et solidaire, montronslui que c’est possible…!

Un peu d’histoire

Voici un article de Ouest France, paru le 13 août, qui retrace l’histoire du domaine de Boudré, objet de convoitises.

Bonne ou mauvaise nouvelle, un entraîneur aux 100 chevaux à Boudré ?

– COMMUNIQUE DE PRESSE de mobilisation de la population locale du seichois pour être présente au prochain Conseil Municipal du lundi 3 juillet 2017 à 20h –

Nous faut-il être dupes pour sacrifier Boudré, au seul profit de riches propriétaires de chevaux et au détriment de la population et d’un avenir durable du Domaine ?

L’installation d’un entraîneur aux 100 chevaux à Boudré, c’est la privatisation du Domaine et la fin d’un bien commun au service du public de notre territoire.

Une bonne ou une mauvaise nouvelle pour la population locale ?

La procédure d’appel à projets est manipulée de bout en bout par le Conseil Départemental, pour imposer ce projet dont le seul mérite est de lui apporter beaucoup d’argent.

Une agence immobilière de Saumur est en train de préparer l’achat d’une partie du Domaine de Boudré avec la bénédiction de C. Gillet, président du Conseil Départemental, par un entraîneur et les riches propriétaires de chevaux d’une écurie de Maisons-Laffitte.

Pour arriver à leurs fins, la communication va bon train. Tout est bon pour vanter les mérites de cette opération. Tant et si bien qu’une majorité des élus locaux sont prêts à succomber aux sirènes d’un projet présenté comme mirifique mais pas seulement. L’enrobage savamment orchestré masque la disparition des atouts d’un rare site de qualité ouvert au public.

Quelles en seraient les conséquences ?

  • Une privatisation d’une partie majeure du Domaine de Boudré, alors que la commune et la communauté de communes Anjou, Loir et Sarthe s’était positionnée pour le maintien du site dans le bien public.
  • La fin de la tranquillité propre à ce site, tant recherchée par les promeneurs, les sportifs, les cyclistes, les enfants et leur famille, les admirateurs et protecteurs de la nature …
  • la remise en cause de toutes les protections environnementales (Plan Local d’Urbanisme, classement Espace Naturel Sensible, classement Zone Naturelle d’Intérêt Écologique, Faunistique et Floristique)
  • la menace d’un forage pour lutter contre l’assèchement des pistes sur un sol de graves au détriment du périmètre de protection du point de captage d’eau pour la commune de Seiches.
  • La fin des courses de Boudré
  • la fin de la mise à disposition de ce site aux associations, clubs sportifs, particuliers, pour passer de bons moments de rassemblements en pleine nature.

Le Collectif « Préservons le Domaine de Boudré » appelle tous les amoureux et défenseurs de Boudré à se préparer pour manifester leur réprobation par tous les moyens à ce projet en trompe l’œil.

D’ores et déjà,

il est important d’être présent en nombre au prochain conseil municipal de Seiches du lundi 3 juillet à 20h, où sera examiné le dépôt du nouveau projet de la Mairie pour l’achat de l’hippodrome.

Il s’agit d’aider la municipalité à prendre les bonnes décisions et à réfléchir à ce que peut être le bon projet pour la population et pour Boudré :

  1. L’abandon d’une partie majeure du Domaine, au seul profit de riches propriétaires de chevaux est immoral vis à vis de l’esprit du legs. Il ouvre la porte à la privatisation du Domaine, qui va le fragiliser à jamais.
  2. Le projet de cet entraîneur fait partie du milieu huppé des courses hippiques. Ce milieu est particulièrement versatile, notamment de par la concurrence de la Française des Jeux sur le PMU. C’est un projet particulièrement fragile dans la durée, avec un risque d’une transmission non maîtrisable.
  3. L’intérêt de la population locale sur l’hippodrome est de soutenir un projet communal qui garantisse à la population l’usage du Domaine et qui permette un avenir durable et respectueux de ce bien public.

Le 30 juin 2017,

Le Collectif « Préservons le Domaine de Boudré »

Contact :

06 77 75 30 20

02 41 76 98 46

« Le Département bel et bien prêt à sacrifier Boudré »

Aujourd’hui, un grand article de Ouest France retrace, dans les grandes lignes, l’histoire du Domaine de Boudré et introduit les projets d’un entraîneur et éleveur de chevaux de course sur et autour du site de l’hippodrome. De quoi faire saliver le Conseil Départemental…

Qu’ils avaient donc du courage, tous derrière et lui devant …

Près de 200 selon la police, 203 pour les organisateurs, à venir braver des seaux de pluie annoncée pour suivre le collectif de sauvegarde du domaine de Boudré dans sa randonnée du dimanche 30 avril.

Afin de se rappeler au bon souvenir de la population Seichoise et environnante, le-dit collectif avait aussi pour objectif de faire connaitre à chacun, élus comme habitants, où en était cet épineux dossier.

Des marcheurs et des participants courageux et souriants, après avoir grignoté encas et siroté boisson sans alcool ont déroulé plus ou moins vite, c’est selon, un pas décidé sur des chemins toujours secs, c’est un des avantages de ce site perméable à souhait où l’oxygène est encore vert.

Petite randonnée de 12 km qui a emprunté, le nouvel itinéraire qui traverse ce bel Espace Naturel Sensible, où chacun a pu admirer la biodiversité écologique. Feuillus pas encore garnis, conifères toujours un peu piquants, volatiles aux plumes mouillées et membres du collectif très en forme au regard de la belle participation.

Tous ces petits plaisirs devaient bien évidemment être ponctués par quelques informations triées sur le volet. C’est ainsi que la représentante de la mairie de Seiches sur le Loir, armée d’une déclaration dont les termes pesés et étudiés ont confirmé la volonté du Maire et de son Conseil Municipal de rester acquéreur de l’hippodrome. Chacun a pu entendre une pointe de mécontentement, disons au minimum une surprise sur la décision du Président du Conseil Départemental d’accepter hors délai la proposition présentée par un propriétaire Normand pour cet achat.

Il est vrai qu’un appel à projet, ça « ne mange pas de pain » puisque sans règle juridique, il n’est pas opposable. C’est une boîte à idées avec une méthode un peu organisée.

Pour le collectif, c’était un engagement MORAL du Président avec des règles qu’il a lui-même définies. Vous avez dit « Moral »?

Donc, le collectif a « gentiment », question de courtoisie, fait état de sa surprise, sur cette situation.

Durant des mois, dans un cadre partagé, ses membres ont activement œuvré à la constitution de cet appel à projet ; ils ont respecté leurs engagements et été la cheville ouvrière dans la conduite du projet et le suivi du dossier.

Et patatras, alors que tout semblait bien engagé, une petite entorse morale et malgré les dires de la représentante du département, qui comme à son habitude intervient courageusement, les travaux sembleraient n’avoir été qu’une chimère.

Alors que les élus locaux, y compris de la nouvelle grande com-com, baptisée ALS, apparaissaient de plus en plus réceptifs au projet en gestation pour que le Groupement Syndical Forestier voit le jour, le Conseil Départemental changerait de position ?

Ce domaine, qui lui a été légué gratuitement il y a plus d’un siècle, mérite de rester public. Si un développement doit s’opérer, sa maîtrise doit rester démocratique. Une cession à un propriétaire privé, entrainera inévitablement des risques pour le site, sa biodiversité et tout ce qui s’y attache.

Les croyances des élus départementaux sur un respect trentenaire de ces règles sont une supercherie.

La conclusion de cette journée fraiche et humide, apparut comme une évidence autour du petit verre offert par le collectif de sauvegarde du domaine : le Conseil Départemental doit accepter la proposition de la mairie de Seiches mais aussi se projeter rapidement avec nous sur les perspectives offertes pour l’ensemble du domaine.

Le legs généreux ne peut être l’objet d’une démarche mercantile, les randonneurs présents l’ont bien fait sentir !

Le président change les règles…

Voilà plus de 2 ans que le collectif de sauvegarde du Domaine de Boudré œuvre afin que ce patrimoine écologique ne tombe pas dans les mains d’entrepreneurs malveillants pour les écosystèmes ou pour des opérations spéculatives qui priveraient les habitants de ce Bien Commun.

Voilà des mois que les membres du-dit collectif construisent un projet tourné vers les citoyens et pour une biodiversité préservée.

Des sourires convenus et des relations apaisées laissaient entrevoir des solutions riches d’espoir et des progrès de développement du domaine grâce à un appel à projet pour la partie hippodrome et ferme et à la création du Groupement syndical forestier pour gérer la forêt.

Bien qu’opposé au lotissement du domaine (hippodrome, landes, étangs et forêts, fermes), le collectif a participé activement à la rédaction de l’appel à projet afin que la mairie de Seiches puisse le porter auprès des édiles départementaux. L’avis majoritaire du conseil municipal de Seiches laissait donc entrevoir une sortie positive pour le lot hippodrome.

Mais en cours de route, prouvant ainsi la véracité de l’adage : « les promesses n’engagent que ceux qui les croient ! », le président du conseil départemental et sa majorité aux ordres, ont changé les règles pour faire entrer dans le jeu de la concurrence, un riche candidat, mieux disant. Ce dernier a remis, une proposition hors délais, mais l’appât du gain obligeant, Mr Gillet semble faire fi de ses discours, et ce au mépris des élus locaux, des habitants et du collectif.

Ainsi, après avoir fait casser le legs des époux Gélineau, pour combler des dettes accumulées et sur la base de prétextes éhontés, les élus départementaux cherchent à tirer le maximum de profits du patrimoine local.

Et maintenant, ils souhaiteraient que les élus de la nouvelle grande communauté de communes entrent dans le capital d’un groupement syndical forestier. Il y a de quoi être encore plus inquiet sur la valeur des engagements départementaux et sur l’intérêt d’un projet qui pourra être sabordé pour des raisons toujours justifiées par les circonstances du moment.

L’hippodrome était un atout s’intégrant au plus profond de l’ensemble du domaine et des projets de développement sur lesquels les membres du collectif phosphoraient. Si ce cœur du domaine est marchandé sans que les habitants puissent en avoir l’usufruit écologique, quels vont être les espoirs de voir les prochaines options aller dans le bon sens ?

L’expérience actuelle amène donc le collectif à encore plus de prudence, disons même de suspicions, sur les intentions des élus qui gèrent le département. Les déclarations et engagements de Mr Gillet sont encore bien présents dans l’esprit des défenseurs du site.

Cette situation invite donc à ce que l’attitude positive et constructive du collectif évolue vers d’autres initiatives plus percutantes et certainement dérangeant certainement la bienséance du climat actuel.

Les habitants de Seiches sur le Loir et des environs doivent se préparer à renforcer leur mobilisation pour que Boudré reste une propriété publique locale.

 

La pétition en ligne

C’est ici qu’il faut la signer !

Une histoire de legs

Un article du Courrier de l’Ouest du 4 mai 2016 concernant le legs Gélineau.

Pour le collectif, Le casse du legs Gélineau est juridiquement légal mais moralement scandaleux.

Courrier de l'Ouest du 04 mai 2016

L’art et la manière de casser un legs

Le casse du Legs, en 2007 et pas en 1997, est juridiquement légal mais moralement scandaleux. Le conseil départemental s’est appuyé sur deux exercices financiers pour démontrer que le domaine était déficitaire.

Comme le département n’a pas communiqué sur son action en justice, au tribunal, il n’y a pas eu d’avis contradictoire.

Comment, raisonnablement, pouvons nous prendre appui sur deux exercices financiers alors que le domaine comporte une forêt.

Depuis quand la gestion d’une forêt se fait elle sur deux exercices financiers ???

L’article de Ouest France du 3 mai à ce sujet c’est ici

Pourquoi la forêt à t'elle été léguée au département

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